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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 22:13
Tapis fille thème Papivole 3X 61014 3086 0038chez Verbaudet

 

J'ai acheté ce tapis il y a peu afin de définir à ma petite chipie d'un an son espace de jeu - coin lecture, jeux musicaux, jeux d'éveil...

 

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Contrairement à certains commentaires, le tapis ne bouloche pas tant que ça. J'en suis très heureuse pour notre plus grand plaisir !

 

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rapport qualité prix intéressant !

 

le 16 juillet 2013 : Je suis très heureuse de cet investissement. Le tapis est le centre de nos activités et de notre espace bien être ! Un espace dans lequel elle évolue chaque jour et cet espace évolue avec elle...

 

Malheureusement après  2 années d'utilisation faut quand même le nettoyer chez un professionnel mais les deux couches se décollent déjà et selon professionnel déjà des soucis avec les tapis Verbaudet... Résultat le 11 mars 2015 ! J'espère ne pas avoir à en racheter un !

 

RESULTAT : pas de soucis après plusieurs nettoyages

cela fait 5 ans. Je pense aujourd'hui (mars 2018) à le changer car les couleurs sont passées et n'ont plus d'éclat.

 

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 22:03
Voyager avec bébé link

Les voyages mettent de la nouveauté dans la monotonie de l’existence et permettent de nouvelles expériences. Mais l’extrême jeunesse, quant à elle, tend à ne pas toujours les apprécier pleinement. Ce n’est un mystère pour aucun parent que les petits enfants trouvent (et rendent...) pénibles les grands trajets en voiture.

Bébé a ses habitudes

Pour les adultes, qui dit routine dit aussi ennui, répétition, monotonie... Pour le petit enfant, c’est tout le contraire. La routine, c’est justement ce qui permet de donner du sens à ce monde si compliqué qui l’entoure. Si les tâches et les horaires sont réguliers, alors bébé sait vite ce qui l’attend à chaque moment du jour. Cette possibilité d’anticiper le rassure beaucoup, elle est promesse de joie à venir. C’est beaucoup plus confortable pour l’enfant de prévoir ce qui va arriver, cela lui donne un sentiment, illusoire mais rassurant, de contrôle sur son environnement.

Dans ce cadre, on comprend que tout changement subi provoque chez le tout-petit un désarroi, presque une angoisse. Mais les voyages augmentent aussi les expériences et leur capacité d’adaptation.

Anticiper et organiser

Voyager avec un bébé demande une solide organisation, ce n’est qu’à ce prix que tout se passera bien.

C’est parce que maman aura eu le temps de préparer tout ce dont bébé a besoin (changes, biberons de voyages, lingettes, brumisateur, le petit oreiller habituel de bébé, etc.) qu’elle se sentira tranquille, et son bébé aussi.

Le goût du voyage

Bébé aime aussi être prévenu et, si possible, préparé à ce qui va se passer. A son niveau, il comprendra, si vous lui expliquez simplement, que cette journée sera un peu longue, un peu pénible, qu’il s’y déroulera des choses étranges qui sont le début de ce que l’on nomme des vacances, que c’est plutôt réjouissant, et que tout cela s’arrangera très vite. Enfin, pendant un long trajet en voiture, chacun a des besoins, qu’il est souhaitable de respecter.

Il faut maintenir les routines de l’enfant le plus possible. Il aimera voyager avec ses doudous, boire dans le même biberon qu’à la maison ou écouter les mêmes cassettes de petites chansons. Les parents, ce jour-là, ont besoin de trésors de patience, de calme, de prudence et d’imagination. Bébé a besoin de confort, de distractions et de réassurance. Tous ont besoin de faire des pauses fréquentes, pour se détendre et reprendre des forces.

L’inquiétude des parents

L’inquiétude de maman, la tension de papa (ou le contraire) vient inquiéter le bébé et lui faire ressentir ce trajet comme malvenu,

Le bébé n’a aucun a priori sur ce voyage, si ce n’est qu’il est dérangé dans sa routine, mais quel parent ne se sent pas tendu, stressé, un peu anxieux, parfois plusieurs jours à l’avance, lorsqu’il s’agit de gérer un départ en famille ?

Faire les valises, réviser la voiture, établir le compte à rebours, partir au bon moment par le bon itinéraire, ne rien oublier... Le bébé ressent toutes ces tensions avec une grande acuité. Il s’en inquiète sans pouvoir leur donner un sens, sans pouvoir rien contrôler.

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 22:00

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L’allaitement n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Parmi les petits maux qui peuvent venir émailler cette aventure lactée, la mastite en est un courant. A quoi est-elle due ? Faut-il arrêter de faire téter bébé ? Quels sont les traitements ? Le point avec Carole Hervé, consultante en lactation IBCLC.

Mastite : qu’est-ce que c’est ?
La mastite est une inflammation de la glande mammaire. Elle peut être juste inflammatoire ou d’origine infectieuse mais dans tous les cas, « c’est un problème très courant chez les mamans allaitantes », observe Carole Hervé.

Mastite : les symptômes
La mastite touche un seul sein en général, dans sa totalité parfois, mais le plus souvent sur une petite zone qui est alors rouge, chaude, douloureuse. On parle de « placard ». Toutefois, les signes ne sont pas toujours si évidents, si bien que même une maman avertie ou une pro de l’allaitement peut ne pas la voir venir ! « On peut penser à un simple engorgement, ou à une grippe, car les symptômes de la mastite s’y apparentent : la maman est fatiguée, courbatue, fiévreuse », explique la consultante.

Mastite : les causes
La mastite est due à une stase lactée : le lait stagne dans le sein, entraînant une inflammation. En arrière-plan, il y a souvent une grande fatigue de la jeune maman. « La mastite est comme un signal lancé à la maman : tu en fais trop, prends soin de toi ! », aime à répéter notre spécialiste. D’autres facteurs peuvent favoriser un mauvais drainage du lait : un soutien-gorge à armature qui appuie sur un point, un portage de bébé trop serré, une position de sommeil sur le ventre, une crevasse douloureuse qui n’encourage pas à donner le sein fréquemment, etc. Plus rarement, un germe (staphylocoque par exemple) est en cause.

Mastite : des gestes simples pour la traiter
Le traitement de première intention de la mastite se résume en deux mots : drainage et repos. Pour le second point, on ne le répétera jamais assez (mastite ou pas d’ailleurs !) : reposez-vous autant que possible ! Dès que bébé dort par exemple, laissez de côté le ménage et la cuisine. Quant à drainer le sein, le meilleur moyen est… le bébé ! « Il convient de ne pas arrêter de donner la tétée, bien au contraire, » insiste la consultante. « Le lait qui reste entretient l’inflammation, aussi est-il indispensable de le faire sortir. Et pour cela, proposer le sein au bébé aussi souvent que nécessaire demeure le moyen le plus efficace mais aussi le plus doux pour le sein. C’est également essentiel afin d’éviter une baisse de la lactation ». Certes, la maman peut appréhender la tétée car le sein est très douloureux, mais ce (mauvais) moment à passer est le moyen le plus rapide et le plus efficace pour retrouver des tétées sereines. Si bébé rechigne devant le sein (en cas de stase lactée, le lait peut avoir un goût un peu plus salé), vous pouvez éventuellement recourir à un tire-lait, mais en douceur.

Mastite : des solutions nature pour le confort
Certains petits trucs vous permettront également de favoriser le drainage et de décongestionner le sein, à commencer par l’alternance de chaud (avec un gant, un jet d’eau chaude, une bouillotte) et de froid (avec un sachet de petits pois surgelés, enveloppé dans un linge). Le premier va aider le lait à couler, tandis que le second va soulager l’œdème. Autre remède de grand-mère qui a fait ses preuves : la feuille de chou. Prenez une feuille de chou vert, écrasez-la au rouleau à pâtisserie afin d’en faire sortir ses sucs aux propriétés astringentes, puis appliquez la feuille sur le sein. Dans le même registre, le cataplasme à l’argile permet de soulager l’engorgement. Testez également le massage entre les deux omoplates, au dessus de l’attache du soutien-gorge : détente garantie, avec pour effet un réflexe d’éjection facilité.

En cas de fortes douleurs, vous pouvez bien sûr prendre un antalgique compatible avec l’allaitement (paracétamol, ibuprofène).

Mastite : un traitement antibiotique en cas d’infection
Si malgré le drainage et le repos, les symptômes (fièvre, douleur) persistent au bout de 48 heures, prenez rendez-vous avec votre médecin sans tarder. Celui-ci fera un prélèvement afin de voir s’il s’agit d’une infection et fera le point sur la traiter efficacement. Un traitement antibiotique pourra être prescrit pendant 10 à 15 jours. A noter : non traitée, la mastite d’origine infectieuse peut évoluer vers un abcès, mais cela reste rare.

Parallèlement au traitement antibiotique, il est indispensable de continuer à allaiter afin de drainer le sein. Et rassurez-vous, même si un agent infectieux est en cause, il est sans risque pour votre bout ‘chou car votre lait contient des anticorps pour l’en protéger.

Le site de Carole Hervé : http://www.questiondallaitement.com/

Par

  • Julie Martory

Pour en savoir plus : Reconnaître et soigner une mastite - Magicmaman.com

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 21:54

Trop de "bébés RGO" sont traités à tort avec des médicaments. Pour beaucoup d’entre eux, il s’agirait d’un simple RGO physiologique.

Faut-il traiter les RGO ? Oui mais seulement s’il s’agit de reflux gastro-oesophagien pathologiques et non physiologiques.

Pour la Société américaine de pédiatrie, trop de bébés reçoivent des traitements inutiles alors qu’ils ne souffrent que de simples régurgitations interprétées comme des RGO. Alors que 40 % des bébés connaissent des problèmes de régurgitations, seuls 10 % des enfants de moins de 18 ans souffrent réellement de reflux gastro-oesophagien, d’après une étude française publiée en 2012 dans l’ European Journal of Pediatrics.

Pour ces pédiatres, 80 % des traitements ne se justifient pas. Gaviscon, Inexium, Motilium, Debridat, Mopral ou encore les inhibiteurs de la pompe à proton (IPP)seraient donc prescrits ou utilisés à tort par les médecins.

Des médicaments inefficaces ou... dangereux ?

« Les IPP sont très efficaces lorsqu’ils sont utilisés sur un RGO pathologique. La tolérance à court terme chez l’enfant est bonne. Du coup, certains médecins ont tendance à se dire que même si ça ne sert à rien, au moins ça ne fait pas de tort (…) Le traitement par IPP, c’est 6 semaines à 2 mois, mais on voit des enfants qui en prennent plus d’1 an. Or, on a peu d’études sur les effets à long terme et plein de questions, sur des infections microbiennes, sur l’absorption du calcium… » s’inquiète Frédéric Gottrand, sur le site Pourquoi Docteur du Nouvel Obs.

Plus grave, le Motilium largement prescrit dans le cas de RGO n’aurait pas d’autorisation de mise sur le marché pour traiter ce type de pathologie. « Pour le Motilium, on a très peu de preuves de son efficacité dans le RGO. Il y a eu quatre études chez les moins de 2 ans. Deux montrent une efficacité, et deux n’en montrent pas, » explique le Pr Frédéric Gottrand, sur le site Pourquoi Docteur du Nouvel Obs.

La plupart du temps, quelques conseils, un peu de patience, suffiraient à faire disparaître les symptômes du RGO physiologique. « Il faut parfois corriger certaines erreurs alimentaires. Ce sont souvent des bébés voraces, et plus ils mangent et vite, et plus ils régurgitent. Pas de couches trop serrées, les mettre en position verticale ¾ h après le repas… » précise le Pr Gottrand. D’ailleurs, quand bébé commence à marcher, 85 % des reflux disparaissent spontanément.link

 

Et vous avez-vous eu un bébé RGO ? Comment a-t-il été soigné ?

>REPONSES DE DIFFERENTES MAMANS que l'on trouve sur des groupes de discussions : (ATTENTION, ce sont des réponses pas nécessairement applicable à votre bébé ou pas recommandé du tout ; demandez toujours l'avis d'un professionnel : MAIS ATTENTION ! Là aussi, one ne traite pas tout à coup de médicaments, certains professionnels ne cherchent pas plu sloin que le bout de leur nez non plus !!!)

  • Par les plantes (infusions) : verveine, camomille, fenouille
  • L'écharpe de portag, porte bébé
  • Médicaments : Gaviscon nourrisson, Fosfalugel, Inexium, calmosine, polysilan, débridat
  • Homéopathie : Nux Vomic, babyfen
  • Changer de lait/ lait épaissi : lait végétal type Modillac expert riz (cas d'intolérance au PLV)
  • Osthéopathe
  • Patience
  • Position : plan incliné, semi-assise
  • Consulter un pédiatre ou spécialiste / spécialiste de l'allaitement !
  • L'allaitement plus approprié

Les points évoqués en rose sont les méthodes utilisées. Mais son papa et moi n'étions pas trop chaud pour les médicaments - c'était sur une courte durée et pas systématique. Le boudin cale bébé permettait de la surelevér; le bayfen peu utilisé car n'appréciait plus trop son goût par la suite (écoeurement); l'osthéopathe a peut être participé à une certaine amélioration mais pas complète ! ; je buvais des tisanes à la fenouille, cela avit l'air de l'apaiser... (euh oui cela passait dans mon lait maternel !). Il faut beaucoup de patience et d'amour pour aider bébé à traverser ces durs moments, qui je note est une torture pour maman qui se sent impuissante parfois !

Je répondrai, oui il est vrai que c'est génant, douloureux pour bébé. Petit rappel on est tous passé par là et il n'y avait pas autant de médicaments pour nous soulager, on en est pas mort. Alors bon oui si bébé souffre et que l'on peut l'aider à mieux passer ce cap (mais aussi pour nous parents! Car oui nous en souffrons aussi avouez-le) trouvons des astuces et remèdes mais n'allons pas jusqu'à gaver nos bébés avec de lourds traitements qui à long terme peuvent causer autant de mal !

Je répondrai aussi aux femmes qui arrêtent l'allaitement parce qu'une tiers personne ou pire encore un pédiatre ou médecin aurait dit que le lait est indigeste pour bébé alors là mesdames tournez vous SVP vers des professionnels de santé spécialisés dans l'allaitement link !

Jamais un lait maternel est indigeste pour bébé ! La flore intestinal n'est pas arrivé à maturation , le clapet de l'estomac aussi... autant de choses normales... Il faut de la PATIENCE. Le lait maternel est adapté à bébé - surveillez votre alimentation et boisson car ce que vous ingérez passe évidemment dans votre lait - une cause pouvant être une gêne pour bébé.

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 21:45

Les repas complets de bébé

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Vers 8 mois, bébé mange des repas complets et continue de boire du lait. Il est conseillé de séparer les repas de 3h à 3h30 et que bébé mange au minimum 5 repas par jour.

Repas complet

1/2 pomme de terre + 1/2 légume + viande tendre (veau, boeuf, poulet, porc, lapin, dinde, etc.) ou poisson (cabillaud, dorade, sole, etc.) + eau non sucrée après le repas.

Voici combien de fois par semaine bébé doit consommer de la viande et du poisson :
1 à 2 fois un repas avec du poisson, légumes et féculents
2 à 4 fois un repas avec de la viande, légumes et féculents
1 à 3 fois des repas constitués de légumes et féculents

Sur une journée, bébé boit 3 à 4 tétées ou biberons de 200 ml de lait de suite 2è âge + 1 repas de fruits + 1 repas complet (légumes + viande + féculents + matières grasses) + un peu de pain.

Si bébé a encore faim, il n’est pas conseillé d’augmenter le volume des biberons ou le nombre de tétées journalières. Il suffit d’ajouter des féculents aux repas dans le but d’augmenter l’apport en énergie.

La mastication

Vers l’âge de 8 mois, se développent les mouvements masticatoires ainsi que l’apparition des premières dents qui font que l’enfant a envie de mâchouiller des aliments. Il est conseillé de proposer une tranche de pain gris finement moulu sans graine (avec croûte pour qu’il mordille celle ci).

Les aliments déconseillés

Les biscuits et gâteaux, riches en sucres et mauvaises graisses, ne sont pas à préconiser. Ceux-ci doivent être réservés aux grandes occasions afin de ne pas habituer l’enfant au goût sucré.

Le fromage et le tofu contiennent beaucoup de Protéines et ne sont pas à conseiller avant l’âge d’un an ?

Notez qu’il est déconseillé de donner du gluten (= partie protéique contenue dans la plupart des céréales : pain, pâtes, farine, biscuits, etc.) avant l’âge de 9 mois ? Ceci afin de diminuer les risques d’allergies. Le gluten est une partie des protéines, contenu dans diverses céréales (blé, froment, avoine, orge, épeautre, seigle). Les bébés peuvent développer une intolérance au gluten les 6 premiers mois de leur vie. Le gluten peut attaquer les intestins et provoquer une maladie appelée : maladie coeliaque.

L’utilisation de lait d’autres mammifères ou de préparations à base de végétaux (amande, noisette, riz, etc.) est prohibée en raison de leur valeur nutritionnelle inadéquate ?

Une alimentation saine et équilibrée

Assurer la santé de votre bébé, c’est avant tout bien le nourrir. Une alimentation saine et équilibrée est une alimentation variée qui répond aux besoins de l’organisme.

Le lait est l’aliment essentiel, votre bébé doit en consommer environ 500 ml par jour. Si votre bébé n’apprécie pas le lait, vous pouvez opter pour des petits suisses, fromages aux fruits ou yaourts, spécialement adaptés aux enfants en bas âge (enrichis en acides gras essentiels et en fer).

Les fruits et les légumes sont riches en fibres et assurent un bon transit intestinal. Ils apportent en outre l’apport nécessaire en oligo-éléments, sels minéraux et vitamines. Ne remplacez pas la panade par du cake, ni le fruit du dessert de midi par des biscuits. Si bébé boude certains légumes, ne le forcez pas à les manger et réessayez quelques semaines plus tard. Proposez-lui plus de fruits, ils fruits contiennent autant de vitamines et minéraux que les légumes.

Les féculents (céréales, pommes de terre et légumes secs) sont riches en amidon, un glucide lentement dégradé et assimilé au cours de la digestion sous forme de glucose. Les féculents ne font pas grossir s’ils sont consommés avec peu de matières grasses. Ils participent en fait de façon primordiale au contrôle du poids et de l’appétit. Les céréales sous forme de farines infantiles, de pain, de biscottes ou de céréales instantanées doivent entrer dans la composition du premier repas de la journée pour compenser le jeune nocturne et fournir à l’organisme l’énergie nécessaire aux activités du matin.

La viande, le poisson et les oeufs sont une source de protéines. Ils apportent également du fer et du zinc. Le foie est riche en vitamine B1 et A. Les protéines constituent 16 à 20 % du poids de la viande (crue et débarrassée de ses déchets). Une portion par jour suffit. Les matières grasses constituent, selon les produits, entre 1 à 30% du poids des viandes, des poissons ou de l’oeuf. Les protéines sont trop exclusivement synonymes de viande. Sachez qu’un oeuf de taille moyenne est l’équivalent protidique de 50 g de viande ou de poisson.

Les produits sucrés (sucre, confiseries, chocolat, sirops, sodas,...) ne sont pas indispensables à l’équilibre nutritionnel. Mais l’alimentation ne se résume pas exclusivement à l’équilibre nutritionnel, le sucre est une source universelle de plaisir qu’on ne peut purement et simplement exclure des habitudes alimentaires.

L’eau est la seule boisson indispensable. La consommation d’eau sans adjonction d’aucune sorte est à encourager dès le début de la vie.

 

Les repas à partir de 12 mois            link

 

Mon bébé mange moins, que faire ? Est-ce normal ? Oui, ne vous en faites pas, c’est normal il a moins de besoins par rapport à avant.

Moins d’appétit : c’est normal

Au cours des 12 premiers mois, votre enfant a grandi d’environ 25 cm et triplé son poids de naissance. Cet exploit ne se reproduira plus jamais.

Comme son rythme de croissance ralentit, son appétit ralentit également. Il est donc inutile de vous inquiéter si votre enfant commence à faire la fine bouche et serre les lèvres alors qu’auparavant il avait toujours la bouche grande ouverte et raffolait des différentes purées.

Face à cette attitude, la seule règle à adopter est qu’en aucune circonstance et sous aucun prétexte, vous ne devez forcer votre enfant à manger plus qu’il n’en a envie. Oubliez également toutes formes de chantage (ni le supplier, ni le remercier, ni promettre de récompense) : l’enfant mange pour sa propre satisfaction, pas pour celle de son entourage. En effet, vos réactions peuvent favoriser le développement d’une relation heureuse avec la nourriture ou le contraire. Votre meilleure stratégie est d’adopter, dès la naissance, une attitude détendue devant la quantité d’aliments que votre bébé mange.

Tout comme les adultes, les enfants ont le droit d’aimer ou pas certains aliments et ont le droit de les aimer ou pas à certains moments.

Vous devez prendre sur vous afin d’éviter d’entrer dans un cercle infernal où le repas devient l’enjeu de toutes les tensions.

Pour être moins inquiet, offrez toujours à votre bébé les aliments les plus nutritifs et diversifiés, mais laissez-le décider des quantités qu’il veut manger.

Exemple 1 :

Si votre enfant ne veut plus manger de viande, mais qu’il boit ¾ de litre de lait par jour : C’est tout aussi bien parce qu’il reçoit suffisamment de protéines d’origine animale.

Exemple 2 :

Si votre enfant ne veut plus manger de légumes mais acceptent les fruits, il n’y a pas de problèmes puisque nutritionnellement, les fruits et les légumes peuvent quasiment se substituer.

Il ne faut toutefois pas la laisser grignoter des sucreries ou confiseries entre les repas.

Les quantités sur 24h

Laitages, deux biberons de 240 ml de lait de croissance + 1 laitage (yaourt, fromages blancs...).

Céréales, dans le biberon du matin + biscuit au goûter. Deux fois par semaine des petites pâtes peuvent épaissir le repas du midi. Vous pouvez introduire des tartines à la confiture.

Légumes, 200 à 300 g, en purée. Si votre enfant rejette les légumes cuits, essayez les légumes crus en misant sur leurs couleurs et leur présentation, bâtonnets de carottes ou de concombres , rondelles de tomates, lamelles de champignons, buisson de choux-fleurs, feuilles de salades ... Pour allier saveur et amusement, préparez une petite sauce à base de fromage blanc ou de yaourt. Les enfants adorent y tremper leurs légumes.

Fruits, 200 g, en compote ou morceaux.

Viande et poisson, 20g ou un jaune d’œuf.

Matières grasses, une noisette de beurre dans la purée.

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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 21:54

Les 10 commandements pour protéger bébé du soleil et de la chaleur

 

 

1. Vous n’exposerez jamais bébé directement au soleil

 

Soyons clair, avant 1 an, il est fortement déconseillé voire proscrit d’exposer votre petit bout au soleil et ce, même de façon indirecte. Entre 1 an et 3 ans, vous pouvez le laisser prendre un peu de soleil mais de façon indirecte uniquement (ou quand le soleil est au plus bas et ses rayons moins forts). Pas de séance bronzette pour bébé donc. La raison est simple : avant 3 ans, la peau de bébé est encore immature. Fine et fragile, elle n’est pas suffisamment armée pour les rayons solaires UVA et UVB. En clair, un bébé prendra très facilement des coups de soleil voire pire : aura tendance à brûler et donc entamera plus facilement son capital soleil.

 

2. Vous éviterez toute exposition au soleil entre 11h et 16h

 

On le sait, le soleil est à son point culminant aux alentours de midi. De 11h à 16h, les rayons du soleil sont les plus forts. Privilégiez donc un temps de sieste et d’activités à l’ombre avec bébé. Avant 11h et après 16h, à vous les baignades et les châteaux de sable !

 

3. Vous utiliserez une crème solaire adaptée à la peau de bébé

 

Pour bébé, un seul indice à utiliser, le plus fort : le SPF50+. Cette crème est appliquée 20 minutes avant la sortie puis toutes les 2h et plus si bébé se baigne. En effet, après chaque baignade, il est nécessaire d’appliquer la crème solaire SPF50+ spéciale bébé. N’oubliez aucune zone : les oreilles, les pieds et le visage se doivent d’être protégés. Veillez à bien faire pénétrer la crème, on voit souvent, sur les plages, des enfants enduits de crème solaire et « tout blanc ». Sachez qu’une crème solaire n’est jamais aussi efficace que lorsqu’on la fait pénétrer…

 

 

4. Vous habillerez bébé pour le protéger

 

Bien entendu, on va éviter les gros pulls et pantalons. Mais même sur la plage, bébé a besoin d’un tee-shirt léger et d’un bermuda. Choisissez-les en matière fluide et légère et aux couleurs claires afin qu’il n’ait pas trop chaud quand même…

Si vous partez dans une contrée lointaine, pile sous les tropiques où le soleil est constamment présent, investissez dans des vêtements anti-UV. Avec leur traitement qui leur offre un indice de protection SPF50+, les casquettes, tee-shirt et combinaisons anti-UV tombent à pic !

 

5. Vous ne ferez pas l’impasse sur les accessoires

 

Eh oui, même si bébé n’est pas content, lunettes et chapeau sont obligatoires. Ils protègent des parties sensibles du corps à savoir les yeux et la tête, ce qui permet d’éviter tout risque d’insolation…

 

6. Vous ferez boire bébé

 

De l’eau bien sûr ! Il n’y a rien de tel pour hydrater. Prévoyez un grand biberon d’eau fraiche mais pas glacée et proposez-le lui toutes les demi-heures. Si vous allaitez bébé en temps normal, ne changez pas vos bonnes habitudes et prenez un biberon d’eau au cas où…

 

 

 

7. Vous rafraichirez bébé

 

Et là tous les moyens sont bons ! Armez-vous d’abord d’un brumisateur, en cas de forte chaleur, un peu de frais fait toujours du bien. Et côté baignade, on ne lésine pas !

 

 

 

8. En déplacement, vous protégerez bébé de la chaleur

 

Vous faites une balade en poussette, n’oubliez pas l’ombrelle. Un petit tour en voiture ? A vous les pare-soleils et la ruse… Pensez à changer votre siège auto de place selon l’ensoleillement afin qu’il n’ait pas le soleil sur sa tête…

 

9. En toute circonstance, vous serez vigilant aux changements de températures

 

Le mot d’ordre : évitez tout changement de températures trop brutal. Dans votre auto, la clim’ tourne ? Pensez à laisser une fenêtre ouverte quelques minutes lorsque vous êtes à l’arrêt. Ainsi, vous éviterez un trop fort contraste de températures.

 

10. Vous aérerez la chambre de bébé

 

Si la température monte fortement, pensez à fermer les volets de la chambre de bébé et à laisser la fenêtre entre-ouverte afin de faire circuler l’air. La température intérieure sera ainsi plus basse pour un sommeil agréable tandis que l’air sera renouvelé.

 

Vous voilà au fait des bonnes pratiques à suivre avec bébé pour un été ensoleillé ! Maintenant, il ne nous reste plus qu’à prier pour que le soleil qui est là, ne s’en aille pas déjà. Sachez que vous trouverez des recommandations et conseils en cas de « coup de chaud » sur le site du Ministère de la Santé.

 

Conseil : Les 60 millions de consommateurs ont émis une enquête ! Vérifier l'indice de vos crèmes car il apparaît que plus de la moitié ne respecte pas celui-ci. J'utilse Avène et il fait partie des BONS, comme Vichy !

 

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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 21:51
Un conseil : n'écoutez pas trop les conseils !

 

TOUT A FAIT D'ACCORD !

 

link

 

Vous l’avez remarqué : dès qu’il est question de bébés, les conseils et les avis pleuvent. Entre ceux qui ont la science infuse, et ceux qui ont peur de tout, vous êtes servie… Et même cernée. Il est probable que l’image constituée par une jeune mère et son bébé soit si forte et émouvante (pour le pire et le meilleur) qu’elle provoque des réactions excessives et, le plus souvent, contradictoires.

Devant un bébé et sa mère, tout le monde à un avis à donner

Il pleure ?
- Les dents, c’est SÛR !
Elle n’aime pas la délicieuse purée aubergines-carottes introduite à doses minimales dans son biberon ?
- Elle doit être allergique.
Quelle femme n’a pas vécu ce moment troublant où une amie, une collègue, vient la voir à la maternité, et après s’être penchée huit secondes et demie sur le berceau du merveilleux nouveau-né, se met à lui raconter en long en large et en technicolor, comment son propre fils n’a fait ses nuits qu’à dix mois, ou comment sa fille ne supportait pas certaines marques de couches.

Même l’allaitement n’a pas échappé aux règles prescriptives

Il est intéressant d’ailleurs de remarquer que tous les grands systèmes de pensée ou de religions ont énoncé une loi sur cette question. Il faut deux ans d’allaitement, affirme une sourate du Coran - durée préconisée aussi par le Talmud. Le monde gréco-latin était plutôt sur un an et demi, et l’Inde, au premier siècle avant Jésus-Christ recommandait une période d’allaitement d’un an… Aujourd’hui encore, les doctrines vont bon train et s’opposent quant à la fréquence et la durée des tétées, ce qui a le don de mettre les jeunes mamans sur les nerfs !
Comme si, quelle que soit la durée préconisée, il fallait d’abord et surtout qu’elle soit réglementée, bien cadrée... Qu’un regard extérieur, social, législateur vienne se poser sur ce couple si intime constitué par une mère et son enfant.

Le couple mère-enfant : une valeur quasi-sacrée…

Sous nos cieux judéo-chrétiens, le couple mère-enfant, cette dyade, comme disent les psychanalystes, est particulièrement chargée d’émotion, car il est au centre de notre système culturel.
Que l’on songe à la peinture. Toute femme portant son petit, dans ses bras, le nourrissant, ou tout simplement, acceptant de le montrer à d’autres, est au fond un peu la Vierge Marie et son divin enfant.
On peut comprendre que cette charge symbolique ait un prix fort : ok, dit celui – ou celle – qui se trouve face à cette (belle) image, tu es porteuse d’une valeur sacrée, mais pour cela, il y a un prix : tu vas te soumettre un peu à nos jugements !

L’attitude d’une autre femme peut aider

Prendre soin d’un bébé, acte ancestral et universel, peut se nourrir avec bonheur de l’expérience d’autres femmes. L’idéal serait évidemment que celles-ci soient parfaitement bien intentionnées et bienveillantes et ne revivent pas à travers vous, leurs propres débuts de mères – quasi toujours angoissants…
Mais même si cet idéal n’est pas atteint, il se peut que l’attitude d’une autre femme vous aide. Sans qu’elle le sache d’ailleurs, parfois. Tout simplement parce que vous aurez remarqué un geste (masser le ventre d’un bébé qui a – comme c’est si courant - un peu de mal à digérer), ou un mot, ou un rire…

C’est vous qui dessinez la mère que vous êtes…

Ne cessez jamais d’observer et restez toujours libre !
Tout en vous servant de ce qui est positif ici ou là, et en profitant de ce que les autres peuvent vous amener (car être trop seule avec son bébé est lourd aussi !), vous êtes en train de créer votre style : votre façon à vous d’être une mère.
En bref, n’écoutez pas trop les conseils, mais sachez faire un peu d’espionnage : choisissez, dosez, interprétez. Il n’y a pas de raison de ne pas profiter des solutions qui marchent et des talents qui ont fait leurs preuves… Dans ce cas, les « trucs » des autres mères (et même la vôtre, ou celle de votre mari, si... si... si !) peuvent devenir comme des outils. Et puis vous n’êtes pas obligée de dire aux autres ce que vous leur avez piqué…

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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 21:45

7946 10150894221052713 1615911502 nLes pratiques de maternage relèvent de techniques qui se transmettent de façon traditionnelle propre à chaque société. Le maternage a pour but d’assurer au nourrisson les soins et la protection nécessaires à sa survie. Les études transculturelles montrent que, dans toutes les sociétés, les mères sont très vigilantes pour le bien-être de leur bébé.

Que ce soit dans notre monde moderne ou dans les sociétés dites “primitives”, le maternage reste principalement une affaire de femmes. Pour certains auteurs, l’aptitude à materner provient des expériences précoces de la relation mère-fille. Cette même attitude est souvent inhibée chez les garçons. Le “maternage” partagé entre le père et la mère tel qu’on le voit de plus en plus risque de rompre avec cette tradition.

La comparaison des techniques de maternage à travers différentes cultures permet de relever des points communs et des différences dans la stimulation précoce du bébé et dans le lien mère-bébé. Il se dégage des “styles culturels” de maternage qui varient selon les cultures.

De nombreuses études ont mis en évidence l’avance motrice des bébés africains lors des premiers mois de la vie, puis une stagnation de leur développement au cours de la deuxième année. Cette précocité sensori-motrice s’explique par le mode de maternage traditionnel où le bébé est porté sur le dos de la maman et allaité à la demande. Le ralentissement aurait pour cause le traumatisme de la séparation et du sevrage, plus ressenti dans de telles conditions de vie des nourrissons.

Une étude menée chez les Kipsigis, une tribu du Kenya, a montré comment les mères y apprennent à leur bébé à s’asseoir, à se tenir debout et à marcher. Ainsi, ces mères creusent un trou dans le sol et calent le dos du bébé avec du sable. Ce bébé passe 60% de son temps assis. Ces mères font aussi sauter leur enfant dès l’âge de 1 mois sur les genoux afin de favoriser l’acquisition de la station debout et de la marche. Enfin, ces bébés ne sont allongés que durant 10% de leur temps d’éveil, pour 30% des enfants du même âge dans notre culture.

Au Sénégal, le sevrage est avant tout un rite de passage avant l’accession de l’enfant dans sa tranche d’âge. Il s’agit là d’une étape de l’évolution sociale du jeune enfant et non d’un traumatisme comme décrit plus haut.

L’avance sensori-motrice a été confirmée chez les nourrissons de la Côte d’Ivoire. Le bébé y effectue de nombreux déplacements sur le dos de sa maman. Il bénéficie ainsi de stimulations sensorielles variées, d’un climat affectif sécurisant et de nombreuses interactions sociales, toutes des conditions favorables à son éveil. Posé à terre, une éducation permissive lui donne accès à de nombreux objets utilitaires qu’il peut manipuler à son aise.

Chez les Kung, une tribu semi-nomade d’Afrique australe, les enfants sont sevrés vers 4 ans. L’allaitement y est complété dès 6 mois par des aliments prémastiqués. Le bébé Kung est aussi porté longtemps sur le dos de sa mère et il passe 70% de son temps au contact de sa mère (pour 20% environ dans nos pays occidentaux).

Dans beaucoup de sociétés africaines, les mères passent également de nombreuses heures à masser leur bébé et à le mobiliser. Ce contact est, lui aussi, favorable à l’éveil du bébé.

En Inde aussi, on retrouve une même attitude de proximité entre la mère et son enfant :

massages
bains
exercices moteurs
maquillage du visage
...

Tous ces soins sont donnés sur le corps de la mère, celle-ci étant assise sur le sol. L’enfant s’endort au contact de la mère ou bercé dans un hamac. Le maternage indien abonde en stimulations.

A l’inverse, on trouve une plus grande distance entre la mère et son bébé dans nos sociétés occidentales : chambre de bébé avec lit distinct de celui des parents, landau, table à langer, bébé parfois nourri à heure fixe, ... induisent une certaine distance entre la mère et l’enfant. Par contre, les contacts visuels et les échanges verbaux y sont nettement plus favorisés.

Il s’agit là de grandes tendances et aucune méthode ne se veut ni exclusive, ni meilleure qu’une autre.

Au Brésil, la proximité entre la mère et son bébé est médiatisée par l’usage du hamac. Le bébé brésilien s’endort dans les bras de sa mère qui se berce dans son hamac. L’enfant endormi est ensuite déposé dans son berceau-hamac. Dans cette culture, la mère cherche plus à apaiser son bébé qu’à le stimuler. La proximité mère-bébé est la meilleure protection contre la mortalité infantile, fort importante dans cette région.

La structure de la famille joue aussi un rôle important pour les soins aux bébés et leur transmission. La famille élargie, caractéristique dans les sociétés traditionnelles, favorise la coopération des femmes au maternage. La transmission des modes de soin se fait entre les femmes des différentes générations de la famille. Au contraire, dans les familles nucléaires des sociétés occidentales, la jeune mère a souvent moins de repères pour les soins aux bébés. Elle est plus anxieuse et à défaut d’avoir une mère à qui demander conseil, elle trouve ses infos dans des livres (ou sur Internet !).

Beaucoup de ces comportements issus des sociétés traditionnelles se retrouvent maintenant “importées” dans notre culture. Beaucoup de mamans ont opté pour un sac ventral ou latéral pour le transport de leur bébé, les massages des bébés deviennent pratique courante, les bébés sont nourris à la demande, souvent au sein, ... Les bébés profitent ainsi des avantages issus des différentes cultures.

 

 

Anne Reymaekers,

Licenciée en sciences familiales

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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 21:41

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Avez-vous pensé à la carte d’identité pour bébé ? Quel que soit son âge, il y a droit et elle s’avèrera utile si vous voyagez en Union européenne.

 

 

Papiers s’il vous plait ! Même bébé doit avoir au moins une carte d’identité pour voyager dans la communauté européenne ou en Suisse. Pensez-y si vous devez partir en vacances à l’étranger, d’autant plus que cette démarche administrative est entièrement gratuite.

 

Il n’y a pas d’âge limite pour que bébé ait sa propre carte d’identité, quel que soit son âge. Deux conditions toutefois : qu’il soit de nationalité française et qu’il soit présent lors du dépôt de la demande.

 

A quoi sert la carte d’identité ?

 

Elle vous permettra de vous déplacer dans l’Union européenne avec bébé mais aussi de prouver l’identité de votre bébé. Tout simplement ! Attention toutefois : si bébé voyage sans l’un de ses deux parents, il lui faudra également autorisation de sortie du territoire.

 

Où faire la demande ?

 

A la mairie du domicile de l’enfant

A l’antenne de police pour les enfants qui habitent à Paris

A l’ambassade ou au consulat quand l’enfant habite à l’étranger

 

Quels documents sont nécessaires ?

 

Il faut distinguer différentes situations :

 

Si bébé possède déjà un passeport sécurisé ou récent qu’il soit valide ou périmé depuis moins de deux ans, il faudra le formulaire de demande de carte d’identité complété et signé, deux photos d’identité, un justificatif de domicile du parent (un original), le passeport de l’enfant, la pièce d’identité du parent qui effectue la demande, une copie de la décision de justice relative à l’autorité parentale si les parents sont séparés.

 

Si bébé ne possède pas de passeport sécurisé ou récent, il faudra remplir un formulaire de demande d’identité, prévoir deux photos d’identité, un justificatif de domicile du parent qui fait la demande (un original), un acte de naissance daté de moins de trois mois (extrait de filiation complet) ou le livret de famille, une pièce d’identité valide du parent qui fait la demande et une photocopie, une copie de la décision de justice relative à l’autorité parentale si les parents sont séparés.

 

Si l’extrait d’acte de naissance ne permet pas d’établir la nationalité française de l’enfant, un original et une copie d’un justificatif de nationalité seront demandés.

 

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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 21:38

L’apprentissage de la propreté est un processus lent et complexe qu’il ne faut pas brusquer. Pour que l’apprentissage de la propreté se passe le mieux possible, il faut aborder cette étape au bon moment, sans impatience ni réprimande.
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Votre enfant doit être mûr intellectuellement

L’enfant doit avoir envie de devenir grand et la relation mère-enfant doit être sereine afin d’éviter de faire de la propreté une question de pouvoir et un objet de chantage.

Pour qu’il comprenne qu’aller aux toilettes est une activité “de grands”, montrez-lui que vous y allez aussi en laissant la porte ouverte.

Votre enfant doit être mûr au niveau neuro-musculaire

C’est vers 18 mois que la maturation de son système nerveux permet à l’enfant de contrôler ses sphincters. Le sphincter est un muscle annulaire situé autour de l’anus et l’urètre, qui se contracte pour fermer l’orifice.

C’est à cet âge que les connections nerveuses indispensables pour savoir se retenir ou se relâcher se mettent en place.

La maîtrise de la marche (marcher avec assurance et un parfait équilibre) témoigne de ce degré de maturation neuro-motrice. Il faut donc attendre que votre enfant sache bien marcher avant de le mettre sur le pot.

Quelques conseils

La propreté est un apprentissage et non un dressage. Toute contrainte est à bannir, car elle entraîne souvent une réaction inverse à celle souhaitée, quel superbe terrain de pression pour un enfant !

Pour qu’il comprenne qu’aller aux toilettes est une activité “de grands”, montrez-lui que vous y allez aussi en laissant la porte ouverte.

De plus, ses excréments font partie de lui-même à laquelle il tient comme aux autres, et il peut être heurter de voir qu’on s’en débarrasse si vite. Expliquez-lui que la toilette est l’endroit où l’on met tous les excréments (« pipi-caca »).

Expliquez-lui que c’est plus agréable de ne pas avoir de couches humides sur soi. Profitez des beaux jours pour le laisser courir les petites fesses à l’air.

Toute réussite doit donner lieu à des félicitations. Par contre les accidents (ils sont inévitables) doivent passer inaperçu.link

J'ai opté pour le pot Pourty (violet) pour le côté pratique pour vider sans en mettre partout.

Résultat de recherche d'images pour "pot pourty" Résultat de recherche d'images pour "pot pourty"

 

Ensuite après quelques mois, l'apprentissage se passant à merveille sans aucune difficulté, j'ai choisi THERMOBABY Réducteur de toilettes Kiddyloo pour lequel elle s'est fait une joie au déballage de l'essayer. L'impliquer dans la réception des colis tel un cadeau fit une très bonne chose pour son appropriation...

en images...

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